Rue Saint-Denis au théâtre de l’Epée de bois

Après la création de Rue Saint-Denis à l’Artchipel, scène nationale de la Guadeloupe où elle y a connu un vif succès, nous voici de nouveau de retour à Paris où nous allons la reprendre pour la création Parisienne.

Si on écoute (comme il est souvent conseillé de le faire dans tous les théâtres) l’avis des techniciens et professionnels de cette scène nationale qui nous disent que réussir en Guadeloupe devant un public aussi difficile et exigent, est un gage de réussite en tous lieux, alors nous voici assez confiants à 15 jours de la première parisienne. Il est vrai qu’en Guadeloupe, même les nombreuses classes de lycéeens qui sont venus, ont plébiscité ce spectacle, incitant leurs parents à aller le voir (nous avons, paraît-il, battu le record de fréquentation en matière de théâtre, de cette salle de 550 places).

Les raisons de ma confiance (toute relative, il est vrai, je cache mon trac) tiennent essentiellement en la qualité des interprètes (Viktor Lazlo, Jean-Claude Drouot, Cathy Bodet, Modeste Nzapassara, Mike Fédée), de la musique composée par Patrick Marcland et brillamment interprétée par Joonatan Rautiola, de la lumière créée par Ivan Mathis, du son géré par Kenan Trevien, des costumes créés par Charlotte Villermet, du décor créé par Laurent Berman et aussi à la qualité et au soutien sans faille de l’ensemble de l’équipe (collaboration gestuelle de Manuèle Robert, assistance à la mise en scène assurée par Natasha Mashkevitch, relations presse de Murielle Richard, relations publiques et communication mises en oeuvre par Ghislaine Gadjard, affiche de Nelson Foix, le tout de la production suivie par Jean-Jacques Barey).

Pour le reste, à savoir le texte et la mise en scène qui sont l’oeuvre de votre serviteur, je vous laisse seuls juges et vous invite à venir sur place vous faire votre idée, au théâtre de l’Epée de bois du 24 mars au 17 avril.

Venez nombreux. Même pas peur!

Alain Foix

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