Cette symphonie du Nouveau Monde commence par un quatuor.
Le rêve américain est aujourd’hui, le 5 novembre 2008, devenu le rêve de l’univers entier.
Jamais ce pays n’a autant mérité le titre de Nouveau monde.
Nous y reviendrons, bien-sûr. Ca soulève tant de questions qu’on ne pouvait se poser avant.
Un bouleversement, une révolution au sens d’un renversement du monde sur lui-même.
Pour l’heure, c’est l’émotion, les larmes en torrents d’un lac si longtemps contenu.
Je regarde ces images si belles, si incroyables, comme sorties de l’imagination d’un peintre surréaliste.
Une révolution sans armes, une révolution en larmes, larmes de fond.
Une révolution par la démocratie. La victoire sans appel de l’idéal démocratique.
Quelle leçon pour tous les peuples, à commencer par la France!