Rue Saint-Denis en images et en mots

Voici Rue Saint-Denis en images de Régis Durand de Girard et en mots de spectateurs

« Un bel oratorio claudélien » (Antoine Bourseiller, auteur-metteur en scène)

« Entre Prévert et Sophocle, Alain Foix défend le droit des peuples à disposer de leur Tragédie. Sa rue Saint-Denis vaut le détour » (Jean-Michel Helvig, journaliste)

Nous avons passé une très belle soirée avec ton « Rue Saint-Denis », une oeuvre faussement biscornue, comme le décor, et authentiquement écrite, poétique, profonde.   Que l’aventure de ce spectacle continue !  Gilles Costaz (journaliste, critique de théâtre)

« Une tragédie moderne aux couleurs de blues sensuel et poétique. Une belle histoire d’amour » (Marie-Noëlle Eusèbe, comédienne)

« Rue Saint-Denis est une déambulation dans le Paris des tout-seuls, une histoire racontée à tâtons dans l’obscurité de leur vie. Une dégringolade dans l’intime. » (Assane Timbo, comédien)

C’est une drôle d’histoire qui se passe à Paris, à moins qu’elle ne se passe en Caraïbe ou  même en Grèce; aujourd’hui, il y a 3000 ans ou après-demain, et qui raconte l’âme des femmes et des hommes (Jean-Horreaux, guitariste et directeur adjoint de l’école nationale de musique de Bobigny)

Toute la poésie d’Alain Foix converge dans cette tragédie d’hier et d’aujourd’hui, mêlant violence et grande tendresse. Sa « Rue Saint-Denis », habitée d’une Viktor Lazlo magnifique et d’une présence exceptionnelle de Jean-Claude Drouot, est un grand moment de théâtre, un superbe duo de deux générations, de deux mondes. J’ai adoré ! (Myriam B. Editions Gallimard)

« Les jambes des femmes, disait Truffaut, sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie… »
Rue Saint-Denis, le vieil Oreste, qui ne s’en laisse pourtant pas conter, ne se lasse pas de les contempler, les jambes des femmes qui font le trottoir, comme on dit, surtout la douce Marilyn, son oiseau des îles. Clic clac clic clac, pulsations de cette rue-monde où chacun court à son destin, l’homme et la femme, le fils et la mère, où se rejouent le tragique et l’antique, comme s’il était une fois, une première fois…
Alain Foix parle de cette rue comme d’un rêve ancien, assumant d’où l’on vient pour capter ce que l’on devient dans notre monde-Caraïbe. Consonances et dissonances, une partition magnifique dont les comédiens s’emparent avec une vraie jouissance. « Si l’on supprimait l’œdipe et le mariage, que nous resterait-il à raconter ? » disait Barthes. Courez à l’Epée de bois et vous saurez qui des comédiens ou du musicien, qui de l’auteur ou du conteur, sert le mieux cette histoire d’amour et de mort, « plus vieille que depuis bien longtemps ». Allez au théâtre, il est toujours temps…

Dominique Vochelle.

Au nom de tous les invités et en mon nom je tiens à vous remercier chaleureusement de votre invitation. Nous avons passé une soirée et une après-midi très agréables, déroutantes, surprenantes, éblouissantes ! A l’unanimité nous sommes ressortis ébahis par le jeu des comédiens, admiratifs du décor parisien que nous quittons à l’invitation de Marylin pour marcher sur les rivages antillais ! Enfin, contrairement à ce que nous prédisait le conteur-coryphée sa prestation nous a marqué au point de ne surtout pas l’oublier et de ressortir des citations plein la tête ! Quelle écriture ! Nous serons probablement plusieurs à aller découvrir l’œuvre littéraire de Mr Foix.

Une pensée également pour le rôle du saxophoniste magnifiquement tenu.

Bravo et félicitations pour ce spectacle réussi à tout point de vue !

Anne-Sophie ARNAUD, Chargée de Clientèle Associations CREDIT COOPERATIF AGENCE GARE DE L’EST

Merci Alain

Bonjour Alain, merci pour votre pièce,  » Rue Saint Denis » un vrai bijou, le texte est fluide et nous invite au voyage merci à vous Varance Landuzière

Un commentaire

  1. « Les jambes des femmes, disait Truffaut, sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie… »
    Rue Saint-Denis, le vieil Oreste, qui ne s’en laisse pourtant pas conter, ne se lasse pas de les contempler, les jambes des femmes qui font le trottoir, comme on dit, surtout la douce Marilyn, son oiseau des îles. Clic clac clic clac, pulsations de cette rue-monde où chacun court à son destin, l’homme et la femme, le fils et la mère, où se rejouent le tragique et l’antique, comme s’il était une fois, une première fois…
    Alain Foix parle de cette rue comme d’un rêve ancien, assumant d’où l’on vient pour capter ce que l’on devient dans notre monde-Caraïbe. Consonances et dissonances, une partition magnifique dont les comédiens s’emparent avec une vraie jouissance. « Si l’on supprimait l’œdipe et le mariage, que nous resterait-il à raconter ? » disait Barthes. Courez à l’Epée de bois et vous saurez qui des comédiens ou du musicien, qui de l’auteur ou du conteur, sert le mieux cette histoire d’amour et de mort, « plus vieille que depuis bien longtemps ». Allez au théâtre, il est toujours temps…

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